Six championnats seront &agrave; l&rsquo;&oelig;uvre pour un total de 14 courses. En point d&rsquo;orgue de cet &eacute;v&eacute;nement hyper convivial pour le public, l&rsquo;attribution des diff&eacute;rents titres de Champion de France FFSA et la d&eacute;signation du premier laur&eacute;at de la SRO GT Acad&eacute;mie.
C&rsquo;est une tradition incontournable : d&eacute;but octobre, le Circuit Paul Ricard accueille la derni&egrave;re &eacute;preuve du Championnat de France FFSA Circuits. Un rendez-vous toujours tr&egrave;s populaire aupr&egrave;s des fans, tant pour l&rsquo;activit&eacute; en piste (avec six championnats diff&eacute;rents et 14 courses au menu d&egrave;s samedi 11h40) que pour l&rsquo;accessibilit&eacute;. Avec des billets &agrave; 12 euros seulement la journ&eacute;e (16 euros le week-end) comprenant le parking, l&rsquo;acc&egrave;s au paddock pour tous et la possibilit&eacute; de participer aux Pit Walks (un samedi et un dimanche), cette finale de la saison ravira tous ceux qui rejoindront le plateau du Castellet.
&Agrave; l&rsquo;affiche, on retrouve le Championnat de France FFSA GT, le Championnat de France FFSA Tourisme, l&rsquo;Alpine Elf Cup Series, la Porsche Carrera Cup France, le McLaren Trophy Europe et la Clio Cup Series.&nbsp;
Au-del&agrave; d&rsquo;une attribution des titres toujours passionnante (cinq des six championnats vivront leur ultime rendez-vous de la saison), le Circuit Paul Ricard permettra aussi de r&eacute;v&eacute;ler le premier laur&eacute;at de la SRO GT Acad&eacute;mie, une nouvelle comp&eacute;tition mise sur pied cette ann&eacute;e par le promoteur SRO Motorsports Group avec le soutien de la F&eacute;d&eacute;ration Fran&ccedil;aise du Sport Automobile.&nbsp;
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SRO GT Acad&eacute;mie : quatre pilotes en qu&ecirc;te du graal
Inaugur&eacute;e en 2025, la SRO GT Acad&eacute;mie vivra donc son d&eacute;nouement sur le Circuit Paul Ricard dans le cadre de la finale du Championnat de France FFSA GT. Et l&rsquo;enjeu est de taille ! Le laur&eacute;at recevra en effet une dotation de 150.000 euros et un encadrement de SRO et de la FFSA Academy pour disputer le GT World Challenge Europe powered by AWS en 2026. Autrement dit, le FFSA GT (qui se dispute avec des GT4) est une rampe de lancement vers le GT3, qui est aujourd&rsquo;hui la cat&eacute;gorie de r&eacute;f&eacute;rence au niveau plan&eacute;taire.
Ouverte aux pilotes de moins de 30 ans de toutes les nationalit&eacute;s, cette comp&eacute;tition a notamment comme particularit&eacute; de se baser sur les performances individuelles sans tenir compte des r&eacute;sultats de l&rsquo;&eacute;quipage. L&rsquo;attribution des points se fait en effet &agrave; partir de six crit&egrave;res objectifs : le r&eacute;sultat des essais qualificatifs, le classement apr&egrave;s le premier relais de la course 1 (disput&eacute; par les pilotes Pro), le meilleur tour en course (dans les deux confrontations) et le rythme en course (avec la moyenne des meilleurs tours dans les deux courses).
Quatre pilotes abordent la finale de la saison avec une chance math&eacute;matique de s&rsquo;imposer. Gaspard Simon (Alpine A110 GT4 EVO/Code Racing Development) est en t&ecirc;te avec 179 points, soit quatre de plus qu&rsquo;Ethan Gialdini (Ginetta G56 GT4 EVO/CMR). Troisi&egrave;me, Nicolas Ciamin (Ginetta G56 GT4 EVO/CMR) compte 38 points de moins que le leader. Enfin, avec 53 points de retard et 72 unit&eacute;s encore en jeu, Viny Beltramelli (Porsche 718 Cayman GT4 RS Clubsport/JSB Comp&eacute;tition) conserve un infime espoir lui aussi.&nbsp;
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Suspense garanti pour la finale du Championnat de France FFSA GT&nbsp;
Fid&egrave;le &agrave; ses habitudes, le Championnat de France FFSA GT proposera deux courses de 60 minutes samedi &agrave; 14h35 et dimanche &agrave; 13h00. Elles seront &agrave; suivre en direct sur la cha&icirc;ne YouTube GTWorld et les absents auront tort car le suspense promet d&rsquo;&ecirc;tre entier.&nbsp;
Pour la premi&egrave;re fois depuis 2022, pas moins de quatre &eacute;quipages peuvent encore r&ecirc;ver de coiffer la couronne de la classe Pro-Am au moment d&rsquo;aborder cette finale. Sachant que 52 points sont encore en jeu et que l&rsquo;&eacute;cart entre les leaders et les quatri&egrave;mes n&rsquo;est que de 26 points, tous ont de vraies chances d&rsquo;atteindre l&rsquo;objectif de toute une saison.
&Eacute;patants depuis le d&eacute;but de cette ann&eacute;e, Stanislav Safronov et Aleksandr Vaintrub (Aston Martin Vantage AMR GT4 EVO/Mirage Racing) m&egrave;nent le championnat, mais Gaspard Simon et Pascal Huteau (Alpine A110 GT4 EVO/Code Racing Development) sont revenus &agrave; 8 points apr&egrave;s le rendez-vous de Magny-Cours. Point&eacute;s &agrave; 13 points seulement, les champions 2023 Olivier Jouffret et &Eacute;ric Tr&eacute;moulet (Mercedes-AMG GT4/Vic&rsquo;Team) ont aussi leur sort entre les mains. L&eacute;g&egrave;rement en retrait, Rudy Servol et le pistard-rallyman Nicolas Ciamin auront besoin d&rsquo;un coup de pouce du destin pour s&rsquo;imposer sur la Ginetta G56 GT4 EVO de CMR puisqu&rsquo;ils ont 26 points de retard.
Les choses semblent plus limpides en Am Cup. Vice-champions dans cette classe en 2024, St&eacute;phane L&eacute;meret et St&eacute;phane Auriacombe (Alpine A110 GT4 EVO/CMR) sont en position de prendre leur revanche. Le duo belgo-fran&ccedil;ais arrive en effet sur le Circuit Paul Ricard avec une avance de 35 points sur Kevin Jimenez et Florent Grizaud (Porsche 718 Cayman GT4 RS Clubsport/GPA Racing). Outre la recherche du titre, les deux Toulousains devront s&eacute;curiser leur m&eacute;daille d&rsquo;argent face &agrave; la Britannique Jodie Sloss et &agrave; David Levy (Aston Martin Vantage AMR GT4 EVO/Mirage Racing).
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Trois titres sur cinq encore en jeu en Championnat de France FFSA Tourisme&nbsp;
Cinq mois et demi apr&egrave;s son lancement lors des Coupes de P&acirc;ques de Nogaro, le Championnat de France FFSA Tourisme vivra son sixi&egrave;me et dernier rendez-vous ce week-end sur le Circuit Paul Ricard. Une finale avec son lot de suspense puisque trois des cinq titres mis en jeu doivent encore &ecirc;tre attribu&eacute;s.&nbsp;
Quatre sprints de 25 minutes sont au menu samedi &agrave; 11h40 et 19h25 puis dimanche &agrave; 10h00 et 16h50. Ces quatre courses seront &eacute;videmment &agrave; suivre sur place ou en direct sur la cha&icirc;ne YouTube GTWorld.&nbsp;
Leader de la classe TCR depuis le meeting de Spa-Francorchamps, Giovanni Scamardi (Cupra L&eacute;on VZ TCR/SP Comp&eacute;tition) arrivera en grand favori sur cette finale de la saison, seul Rapha&euml;l Fournier (Hyundai Elantra N TCR/JSB Comp&eacute;tition) &eacute;tant encore en mesure de le priver de la couronne. L&rsquo;&eacute;cart entre le Belge et le jeune Fran&ccedil;ais est de 30 points alors que 50 sont encore &agrave; attribuer. La concurrence pourra-t-elle arbitrer ce duel ? Ce sont en tout cas une petite dizaine de TCR qui seront de la partie avec, en plus des habitu&eacute;s, plusieurs pilotes d&eacute;couvrant &ndash; ou red&eacute;couvrant &ndash; le Championnat de France FFSA Tourisme.&nbsp;
D&eacute;j&agrave; champion de la classe GT Light depuis la derni&egrave;re &eacute;preuve &agrave; L&eacute;denon, David Chiche (Ligier JS2 R/Team CDRS) arrivera sans aucun stress sur le Circuit Paul Ricard. Son objectif : finir l&rsquo;ann&eacute;e en beaut&eacute; face &agrave; une concurrence bien relev&eacute;e : St&eacute;phane Codet (Ligier JS2 R/Team CDRS), Laurent Joubert (Ligier JS2 R/J&rsquo;Nov Auto Racing by JSB) et Romain Duqueine (associ&eacute; &agrave; son papa Vincent sur la Ligier JS2 R du Duc Racing) semblent tous les trois en mesure de viser les victoires, avec en outre la lutte pour la deuxi&egrave;me place du championnat entre les deux premiers.&nbsp;
Alors que Florian Brich&eacute; (Peugeot 308 RC/JSB Comp&eacute;tition) avait domin&eacute; le d&eacute;but de saison, un week-end noir &agrave; L&eacute;denon a vu le Nordiste perdre les commandes du championnat pour la premi&egrave;re fois. Tr&egrave;s r&eacute;gulier depuis le d&eacute;but de cette ann&eacute;e, Kevin Ropars (Peugeot 208 TC/2RT) n&rsquo;a pas laiss&eacute; passer sa chance&hellip; et il compte bien la jouer jusqu&rsquo;au bout ! Kevin aborde cette finale avec 11 points d&rsquo;avance sur Florian. Sachant que quatre victoires du poursuivant lui permettraient de coiffer la couronne, le duel promet d&rsquo;&ecirc;tre intense.
Micka&euml;l Boisdur a d&eacute;croch&eacute; le titre de la classe TCA avant l&rsquo;heure &agrave; L&eacute;denon. Il visera n&eacute;anmoins de nouveaux succ&egrave;s lors d&rsquo;une &eacute;preuve s&rsquo;apparentant &agrave; un match entre trois Mini R56 MCS-R engag&eacute;es par ADWShop Motorsport et une demi-douzaine de Renault Clio Cup IV. La deuxi&egrave;me place du championnat se jouera entre Claude Carlos (avec son fr&egrave;re Julien au sein du Team Leal Comp&eacute;tition) et Lubin Henry (Team Leal Comp&eacute;tition), qui fera &eacute;quipe avec son papa Henry.&nbsp;
Enfin, c&rsquo;est dans la classe TCA Light que le suspense sera le plus intense. Cinq points seulement s&eacute;parent Karel Eyoum et L&eacute;o Berson dans cette cat&eacute;gorie regroupant les Peugeot 208 RC. Tous les sc&eacute;narios semblent possibles au cours des quatre courses dans un peloton toujours tr&egrave;s anim&eacute; avec une dizaine de concurrents attendus, dont Nicolas Roumezy (Comte Racing Team), math&eacute;matiquement toujours en lice. Mais avec 47 points de retard, il lui faudrait un miracle.&nbsp;
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Circuit

Le Circuit Paul Ricard sera ce week-end le théâtre de la finale de la saison 2025 du Championnat de France FFSA Circuits.

Un dernier rendez-vous spectaculaire pour le Championnat de France FFSA Circuits

- Gaspard Simon, Ethan Gialdini, Nicolas Ciamin et Viny Beltramelli toujours en lice pour la dotation de 150.000 euros et l&rsquo;encadrement de SRO et de la FFSA Academy. 
- Le laur&eacute;at appel&eacute; &agrave; disputer le GT World Challenge Europe powered by AWS en 2026 
Inaugur&eacute;e en 2025, la SRO GT Acad&eacute;mie vivra son d&eacute;nouement ce week-end sur le Circuit Paul Ricard dans le cadre de la finale du Championnat de France FFSA GT. Et l&rsquo;enjeu est de taille ! Le laur&eacute;at recevra en effet une dotation de 150.000 euros et un encadrement de SRO et de la FFSA Academy pour disputer le GT World Challenge Europe powered by AWS en 2026. Autrement dit, le FFSA GT (qui se dispute avec des GT4) est une rampe de lancement vers le GT3, qui est aujourd&rsquo;hui la cat&eacute;gorie de r&eacute;f&eacute;rence au niveau plan&eacute;taire.
Ouverte aux pilotes de moins de 30 ans de toutes les nationalit&eacute;s, cette comp&eacute;tition a notamment comme particularit&eacute; de se baser sur les performances individuelles sans tenir compte des r&eacute;sultats de l&rsquo;&eacute;quipage. L&rsquo;attribution des points se fait en effet &agrave; partir de six crit&egrave;res objectifs : le r&eacute;sultat des essais qualificatifs, le classement apr&egrave;s le premier relais de la course 1 (disput&eacute; par les pilotes Pro), le meilleur tour en course (dans les deux confrontations) et le rythme en course (avec la moyenne des meilleurs tours dans les deux courses).
Quatre pilotes abordent la finale de la saison avec une chance math&eacute;matique de s&rsquo;imposer. Gaspard Simon (Alpine A110 GT4 EVO/Code Racing Development) est en t&ecirc;te avec 179 points, soit quatre de plus qu&rsquo;Ethan Gialdini (Ginetta G56 GT4 EVO/CMR). Troisi&egrave;me, Nicolas Ciamin (Ginetta G56 GT4 EVO/CMR) compte 38 points de moins que le leader. Enfin, avec 53 points de retard et 72 unit&eacute;s encore en jeu, Viny Beltramelli (Porsche 718 Cayman GT4 RS Clubsport/JSB Comp&eacute;tition) a encore une petite chance lui aussi. Rencontre avec ces quatre espoirs du sport automobile.&nbsp;
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<ul>
<li>Gaspard Simon&nbsp;</li>
</ul>
179 points 19 ans (14/08/2006) Vit &agrave; Palavas-les-Flots &Eacute;tudiant en droit
Parcours :
D&eacute;buts en karting &agrave; l&rsquo;&acirc;ge de 9 ans. Champion de Ligue Occitanie-M&eacute;diterran&eacute;e en 2016, champion de Ligue Centre en 2018, 3e du Championnat de France Junior &ndash; FFSA Academy en 2019 et membre de l&rsquo;&Eacute;quipe de France Espoir Karting en 2020.&nbsp;
Passe &agrave; l&rsquo;automobile en 2023 avec d&rsquo;embl&eacute;e un titre de Champion dans la Caterham Academy.&nbsp;
5e en Pro-Am et meilleur rookie du Championnat de France FFSA GT 2024.&nbsp;
Actuellement 2e du Championnat de France FFSA GT avec Pascal Huteau sur une Alpine A110 GT4 Evo engag&eacute;e par Code Racing Development.
D&eacute;claration :
&laquo; J&rsquo;ai d&eacute;but&eacute; la saison avec deux objectifs en t&ecirc;te : celui de briller dans le Championnat de France FFSA GT en Pro-Am et dans la SRO GT Acad&eacute;mie. En soi, l&rsquo;approche est la m&ecirc;me car tu sais que si tu performes dans le championnat, tu marqueras des points dans l&rsquo;Acad&eacute;mie &eacute;galement ! &Agrave; part une mauvaise journ&eacute;e le samedi &agrave; Dijon, o&ugrave; je n&rsquo;ai pas v&eacute;cu la s&eacute;ance qualificative que je voulais, j&rsquo;ai &eacute;t&eacute; assez r&eacute;gulier avant de vivre un superbe week-end &agrave; Magny-Cours. &Agrave; moi de confirmer lors de cette finale, m&ecirc;me si je ne veux pas me mettre une pression excessive. Je vais juste essayer de donner le meilleur de moi-m&ecirc;me, comme &agrave; chaque fois. Pour moi, mais aussi pour mon &eacute;quipier Pascal (Huteau, NDLR) et pour toute l&rsquo;&eacute;quipe Code Racing Development qui s&rsquo;est donn&eacute;e sans compter. Quoi qu&rsquo;il advienne, j&rsquo;ai ador&eacute; le concept de l&rsquo;Acad&eacute;mie dans laquelle chacun marque des points ind&eacute;pendamment du classement final de la course. Au-del&agrave; de la dotation, vivre les CrowdStrike 24 Hours of Spa de l&rsquo;int&eacute;rieur restera un des temps forts de ma saison. J&rsquo;ai pu voir le fonctionnement de la direction de course, de l&rsquo;&eacute;quipe m&eacute;dia, voir les coulisses de la t&eacute;l&eacute; et faire des commentaires en direct sur la cha&icirc;ne YouTube&hellip; Ce sont toutes des exp&eacute;riences qui me serviront &agrave; l&rsquo;avenir. Et si c&rsquo;est parce que je roule en GT World Challenge, ce sera encore mieux ! &raquo;
&nbsp;
<ul>
<li>Ethan Gialdini</li>
</ul>
141 points
18 ans (14/05/2007)
Vit &agrave; Al&egrave;s
&Eacute;tudiant en Gestion Entreprise et Administration
Parcours :
Karting (11e Championnat de France Junior &ndash; FFSA Academy en 2022)
Passe &agrave; l&rsquo;automobile en 2024 avec d&rsquo;embl&eacute;e un titre de Champion de France FFSA Tourisme dans la Ginetta GT Academy.&nbsp;
Actuellement 5e du Championnat de France FFSA GT avec Gwena&euml;l Delomier sur une Ginetta G56 GT4 Evo engag&eacute;e par CMR.
D&eacute;claration :
&laquo; Avoir une r&eacute;compense au bout d&rsquo;un championnat est toujours une motivation suppl&eacute;mentaire et c&rsquo;est clairement le cas avec cette SRO GT Acad&eacute;mie. Je pense que le concept va grandir &agrave; l&rsquo;avenir, car les championnats avec une dotation sont de plus en plus rares. Et m&ecirc;me si le peloton &eacute;tait un peu plus r&eacute;duit cette ann&eacute;e, il y avait clairement un excellent niveau parmi les candidats &agrave; la victoire. Je suis donc tr&egrave;s heureux et fier d&rsquo;avoir particip&eacute; &agrave; cette premi&egrave;re &eacute;dition et d&rsquo;&ecirc;tre encore en lice pour remporter la dotation et le soutien de SRO et de la FFSA Academy. J&rsquo;ai eu la chance d&rsquo;&ecirc;tre souvent tr&egrave;s performant, m&ecirc;me si la r&eacute;ussite nous a souvent tourn&eacute; le dos et nous emp&ecirc;che de nous battre jusqu&rsquo;au bout pour le titre de Champion de France FFSA GT. Je vais donc aborder cette finale comme une autre course, en donnant le maximum, mais sans me mettre de pression suppl&eacute;mentaire. Si je remporte la SRO GT Acad&eacute;mie, ce sera un bonus. C&rsquo;&eacute;tait ma premi&egrave;re saison en FFSA GT et j&rsquo;ai &eacute;norm&eacute;ment appris, notamment gr&acirc;ce &agrave; mon &eacute;quipier Gwena&euml;l Delomier qui m&rsquo;a transmis son savoir en terme de gestion de la course et d&rsquo;un week-end de course au sens large. Parmi les temps forts de la saison, je retiendrai aussi que la SRO GT Acad&eacute;mie m&rsquo;a offert un encadrement et un apprentissage qui allaient bien au-del&agrave; de la piste elle-m&ecirc;me. &Ecirc;tre repris parmi les pilotes de Safety Car pour les CrowdStrike 24 Hours of Spa &eacute;tait par exemple une chance unique et restera un souvenir marquant ! &raquo;
&nbsp;
<ul>
<li>Nicolas Ciamin&nbsp;</li>
</ul>
141 points
27 ans (18/02/1998)
Vit &agrave; Nice
Pilote professionnel, consultant TV et cascadeur
Parcours :
Moto-cross et trial.
D&eacute;bute en circuit dans les rencontres Peugeot Sport &agrave; l&rsquo;&acirc;ge de 16 ans en 2014. Champion en 208 Relais en 2015 et 4e de la Peugeot RCZ Racing Cup France (+ Champion Junior) en 2015.
Passe au rallye en 2016. Vice-champion du Monde Junior en 2017.&nbsp;
Plus jeune vainqueur en Championnat de France des Rallyes &agrave; l&rsquo;&acirc;ge de 21 ans lors du Rallye du Touquet 2019.&nbsp;
Six victoires en Championnat de France des Rallyes et un succ&egrave;s en WRC2 dans le Championnat du Monde (Central European Rally 2023).&nbsp;
Revient au circuit en 2025 pour disputer le Championnat de France FFSA GT et la SRO GT Acad&eacute;mie.&nbsp;
Actuellement quatri&egrave;me du championnat avec Rudy Servol sur une Ginetta G56 GT4 EVO engag&eacute;e par CMR.
D&eacute;claration :
&laquo; Faute de proposition int&eacute;ressante pour rouler en rallye, j&rsquo;ai d&eacute;cid&eacute; de revenir au circuit pour cette saison 2025 en participant au Championnat de France FFSA GT et &agrave; la SRO GT Acad&eacute;mie. La saison a super bien d&eacute;but&eacute; avec une pole position &agrave; Nogaro. Gr&acirc;ce &agrave; une victoire lors de la derni&egrave;re course &agrave; Magny-Cours, mon &eacute;quipier Rudy Servol et moi sommes toujours en lice pour la couronne nationale, m&ecirc;me si nous savons que les chances sont minces. De mon c&ocirc;t&eacute;, je suis aussi l&rsquo;un des candidats &agrave; la victoire dans la SRO GT Acad&eacute;mie. Je vous avoue que j&rsquo;aurais aim&eacute; &ecirc;tre un peu plus haut dans le classement dans les deux comp&eacute;titions, mais le niveau est vraiment tr&egrave;s relev&eacute;. M&ecirc;me si j&rsquo;avais roul&eacute; sur les circuits que nous avons visit&eacute;, c&rsquo;&eacute;tait il y a longtemps et avec une voiture nettement moins performante que cette Ginetta. &Agrave; part &agrave; Nogaro, o&ugrave; j&rsquo;avais eu l&rsquo;occasion de tester auparavant, j&rsquo;ai ressenti un certain manque d&rsquo;exp&eacute;rience. C&rsquo;est surtout lors des qualifications, quand il faut exploiter les pneus neufs, que je n&rsquo;arrivais pas &agrave; &ecirc;tre aussi performant que ce que j&rsquo;aurais voulu. Je me suis souvent senti plus &agrave; l&rsquo;aise &agrave; partir de la premi&egrave;re course. M&ecirc;me si un pilote aimerait toujours avoir plus de temps de roulage, j&rsquo;ai beaucoup aim&eacute; ce championnat qui est tr&egrave;s bien organis&eacute;, dont le niveau est relev&eacute; et qui b&eacute;n&eacute;ficie d&rsquo;une belle couverture, notamment en t&eacute;l&eacute;vision et via YouTube. Le rallye et le circuit sont deux disciplines bien diff&eacute;rentes, mais je ne regrette pas mon retour &agrave; mes premi&egrave;res amours. Je me suis bien amus&eacute; cette saison et si je peux en plus remporter l&rsquo;Acad&eacute;mie et viser un volant en GT World Challenge Europe en 2026, ce sera encore mieux. &raquo;
&nbsp;
<ul>
<li>Viny Beltramelli</li>
</ul>
126 points
26 ans (09/07/1999)
Vit &agrave; Troyes
Responsable du service d&eacute;pannage de l&rsquo;entreprise familiale
Parcours :
D&eacute;buts en karting &agrave; l&rsquo;&acirc;ge de 13 ans. Champion Ligue &Icirc;le de France en Nationale en 2016.
Passage &agrave; l&rsquo;automobile en 2019. Vice-champion Junior de la Peugeot 208 Racing Cup en 2019 puis champion Junior en 2020.&nbsp;
Champion de France FFSA Tourisme en TCA Light en 2021 puis Champion de France FFSA Tourisme en TC en 2024.&nbsp;
Championnat de France FFSA GT depuis 2022. 3e en Silver Cup en 2024.&nbsp;
Actuellement 8e du Championnat de France FFSA GT avec Julien Paget sur une Porsche 718 Cayman GT4 RS Clubsport de JSB Comp&eacute;tition.&nbsp;
D&eacute;claration :
&laquo; Je suis toujours en lice pour remporter la SRO GT Acad&eacute;mie, mais je suis r&eacute;aliste : mes chances sont infimes et il faudrait une catastrophe pour les autres. Malheureusement, trois incidents sur les huit premi&egrave;res courses m&rsquo;ont emp&ecirc;ch&eacute; de marquer des points&hellip; Deux fois mon &eacute;quipier s&rsquo;est fait percuter en course 2 avant que je ne puisse prendre le volant et je n&rsquo;ai donc pas scor&eacute;. &Agrave; Spa-Francorchamps, j&rsquo;ai &eacute;t&eacute; impliqu&eacute; dans l&rsquo;accrochage du d&eacute;part quand un adversaire a eu un probl&egrave;me m&eacute;canique. Je n&rsquo;ai m&ecirc;me pas fait 200 m&egrave;tres&hellip; C&rsquo;est assez frustrant car cette SRO GT Acad&eacute;mie peut &ecirc;tre la chance d&rsquo;une vie, mais je sais aussi que &ccedil;a fait partie du sport automobile. Il faut souligner l&rsquo;initiative de SRO et de la FFSA car il n&rsquo;y a plus d&rsquo;autres comp&eacute;titions qui peuvent offrir une si belle r&eacute;compense. En outre, j&rsquo;ai beaucoup aim&eacute; le principe avec l&rsquo;int&eacute;gration dans un championnat prestigieux et l&rsquo;attribution des points par pilote de mani&egrave;re individuelle. Parmi les exp&eacute;riences positives, &ecirc;tre invit&eacute; comme consultant pour faire les commentaires TV du FFSA Tourisme a &eacute;t&eacute; super int&eacute;ressant et m&rsquo;a bien servi dans ma compr&eacute;hension des m&eacute;dias. Je pense en tout cas que cette SRO GT Acad&eacute;mie est appel&eacute;e &agrave; grandir et je pense qu&rsquo;elle devrait attirer plus de jeunes &agrave; l&rsquo;avenir car la formule est super int&eacute;ressante. &raquo;
&nbsp;

La première édition de la SRO GT Académie se terminera ce week-end sur le Circuit Paul Ricard.

SRO GT Académie : quatre pilotes en quête du graal

Situ&eacute; &agrave; quelques encablures des locaux de la FFSA Academy, le circuit du Mans sera l&rsquo;h&ocirc;te de la 6e et derni&egrave;re &eacute;preuve du tr&egrave;s international Championnat de France de Formule 4. La cat&eacute;gorie n&rsquo;&eacute;tait plus venue dans la Sarthe depuis plusieurs ann&eacute;es et tous les pilotes, qu&rsquo;ils soient en 1&egrave;re ou en 2e ann&eacute;e, partiront &agrave; armes &eacute;gales au volant d&rsquo;une monoplace identique pour tous.
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Qui succ&eacute;dera &agrave; Taito Kato ?
Apr&egrave;s de rudes bagarres sur les magnifiques circuits de Nogaro, Dijon, Spa Francorchamps en Belgique, Magny-Cours et L&eacute;denon, Alex Munoz et Jules Roussel s&rsquo;affronteront une ultime fois : d&rsquo;abord lors de la si importante s&eacute;ance de qualification, puis &agrave; chacune des trois courses &agrave; l&rsquo;issue desquelles le nom du Champion de France 2025 sera connu. Pour l&rsquo;heureux laur&eacute;at, ce sera l&rsquo;opportunit&eacute; de poursuivre sa carri&egrave;re dans les meilleures conditions.
En termes de points, Munoz (207) et Roussel (180) occupent certes les deux meilleures places, mais Arthur Dorison (145) et Rayan Caretti (137) gardent une chance math&eacute;matique de l&rsquo;emporter, minime il est vrai. Dans tous les cas, ces deux derniers aborderont l&rsquo;&eacute;preuve extr&ecirc;mement motiv&eacute; &agrave; l&rsquo;id&eacute;e de monter sur le podium final du Championnat, sachant qu&rsquo;ils n&rsquo;auront pas droit &agrave; l&rsquo;erreur. Derri&egrave;re eux, plusieurs pilotes souhaitent saisir toutes les opportunit&eacute;s de finir leur saison en beaut&eacute;.
Guillaume Bouzar vient de r&eacute;aliser un excellent meeting &agrave; L&eacute;denon, tout en f&ecirc;tant sa premi&egrave;re victoire. Il est ainsi remont&eacute; &agrave; la 5e place du Championnat devant Rafa&euml;l Perard, l&rsquo;Allemand Montego Maassen, Louis Iglesias et Malo Bolliet, le vainqueur du Volant Feed Racing 2024. Ces quatre pilotes ne sont s&eacute;par&eacute;s que de 6 points. Comme Bouzar, le Japonais Rintaro Sato a c&eacute;l&eacute;br&eacute; son premier succ&egrave;s sur le toboggan du Gard. Il a ainsi int&eacute;gr&eacute; le top-10, un objectif que visent aussi Rom&eacute;o Leurs et Hugo Herrouin.
Les six f&eacute;minines engag&eacute;es en 2025 seront au rendez-vous et &agrave; surveiller : Lisa Billard, la N&eacute;erlandaise Annabelle Brian, Jade Jacquet, Angelina Proenca, la Marocaine Sofia Zanfari et H&eacute;lo&iuml;se Goldberg.
Du 26 au 28 septembre, l&rsquo;ACO et les 4185 m&egrave;tres du circuit Bugatti au Mans sont pr&ecirc;ts &agrave; recevoir ce final tr&egrave;s attendu du Championnat de France F4&hellip;
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Classement du Championnat avant Le Mans
1 Alexandre Munoz (France) n&deg;11, 207 pts
2 Jules Roussel (France) n&deg;7, 180 pts
3 Arthur Dorison (France) n&deg;10, 145 pts
4 Rayan Caretti (France) n&deg;26, 137 pts
5 Guillaume Bouzar (France) n&deg;19, 106 pts
6 Rafael Perard (France) n&deg;33, 80 pts
7 Montego Maassen (Allemagne) n&deg;99, 78 pts
8 Louis Iglesias (France) n&deg;13, 75 pts
9 Malo Bolliet (France) n&deg;20, 74 pts
10 Rintaro Sato (Japon) n&deg;30, 63 pts
11 Matt&eacute;o Giaccardi (Monaco) n&deg;27, 47 pts
12 Rom&eacute;o Leurs (France) n&deg;5, 36 pts
13 Andy Consani (France) n&deg;1, 30 pts
14 Hugo Herrouin (France) n&deg;47, 25 pts
15 Thomas Senecloze (France) n&deg;53, 14 pts
16 Pablo Riccobono Bello (France) n&deg;74, 13 pts
17 Sasha Milojkovic (Australie) n&deg;25, 6 pts
18 Hugo Martiniello (France) n&deg;16, 4 pts
19 Lisa Billard (France) n&deg;12, 2 pts
20 Niccolo Pirri (Italie) n&deg;28, 2 pts
21 Nicolas Pasquier (France) n&deg;21, 1 pt
22 Pierre Devos (France) n&deg;59
23 Paul Roques (France) n&deg;3
24 Annabelle Brian (Pays-Bas) n&deg;83
25 Jade Jacquet (France) n&deg;9
26 Angelina Proenca (France) n&deg;23
27 Jason Shen (Chine) n&deg;77
28 L&eacute;andre Carvalho (Portugal) n&deg;45
29 Sofia Zanfari (Maroc) n&deg;15
30 H&eacute;lo&iuml;se Goldberg (France) n&deg;8
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Programme F4 Le Mans 2025
- Vendredi 26 septembre : Essais libres (09:00 - 09:30) et essais qualificatifs (15:15 - 15:45)
- Samedi 27 septembre : Course 1 (09:05 - 09:40) et Course 2 (14:45 - 15:20)
- Dimanche 28 septembre : Course 3 (09:05 - 09:40)
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&gt;&gt; Dur&eacute;e des courses : 30 minutes
&gt;&gt; Monoplace Ligier, moteur Renault turbo, pneumatiques Pirell

Le Championnat de France F4 FFSA arrive à son terme. 27 points séparent le leader Munoz de Roussel. Classés juste derrière eux, Dorison et Caretti peuvent également grimper dans la hiérarchie. L’épreuve mancelle s’annonce passionnante…

F4 : Suspense attendu au Mans pour le final

F4 : Suspense attendu au Mans pour le final (copie)

| T&eacute;o Calvet triomphe au Mans et fait un pas d&eacute;cisif vers le titre
La quatri&egrave;me manche du championnat de France Camions FFSA s&rsquo;est tenue ce week-end sur le circuit Bugatti du Mans, cadre de la 40ᵉ &eacute;dition des 24 Heures Camions. Devant des tribunes pleines (80 100 spectateurs) et dans une atmosph&egrave;re de f&ecirc;te populaire, T&eacute;o Calvet (#20 - Freightliner) a triomph&eacute; et fait un pas d&eacute;cisif vers le titre de champion de France 2025. Pouss&eacute; par son public, Thomas Robineau (#2 - MAN) esp&eacute;rait renverser la tendance sur ses terres mais doit se contenter de la deuxi&egrave;me place. Lionel Montagne (#3 - Renault Trucks), r&eacute;gulier tout au long du week-end, monte sur la troisi&egrave;me marche du podium.
Malgr&eacute; une concurrence plus aff&ucirc;t&eacute;e que jamais, T&eacute;o Calvet a encore dict&eacute; sa loi. Le Toulousain d&eacute;croche au Mans son troisi&egrave;me succ&egrave;s de la saison en quatre rendez-vous et confirme une nouvelle fois qu&rsquo;il reste le patron de la cat&eacute;gorie. Il a fait preuve d&rsquo;une r&eacute;gularit&eacute; implacable avec quatre podiums, dont un succ&egrave;s dans l&rsquo;une des deux manches principales. Deuxi&egrave;me du Grand Prix, Thomas Robineau semble avoir dit adieu &agrave; ses espoirs de titre, lui qui n&rsquo;a plus go&ucirc;t&eacute; aux joies de la couronne depuis 2016. Le pilote local n&rsquo;a jamais r&eacute;ussi &agrave; s&rsquo;&eacute;lancer correctement, notamment dans les courses 2 et 4 &agrave; grille invers&eacute;e. Malgr&eacute; deux podiums au compteur, cela reste insuffisant pour contester l&rsquo;h&eacute;g&eacute;monie de Calvet sur cette &eacute;preuve. Math&eacute;matiquement, il peut encore &ecirc;tre sacr&eacute;, mais il lui faudrait pour cela s&rsquo;imposer sur les courses restantes&hellip; et compter sur de nombreux faux pas de T&eacute;o Calvet, dont la r&eacute;gularit&eacute; et la domination rendent cette &eacute;ventualit&eacute; tr&egrave;s improbable.
Sur la troisi&egrave;me marche du podium, on retrouve un grand Lionel Montagne. De retour aux affaires apr&egrave;s une premi&egrave;re moiti&eacute; de saison en demi-teinte, il a fait sensation au Mans. D&rsquo;abord en d&eacute;crochant la pole position dans les derniers instants, puis en s&rsquo;imposant dans la course 1. Il a r&eacute;cidiv&eacute; dans la course 4, devenant le seul pilote &agrave; signer deux victoires sur le Bugatti ce week-end. Montagne &eacute;tait m&ecirc;me en lice pour la deuxi&egrave;me place du g&eacute;n&eacute;ral du Grand Prix. Mais un probl&egrave;me de direction survenu dans les deux derniers virages de la course 3, l&rsquo;a fait r&eacute;trograder de la deuxi&egrave;me &agrave; la septi&egrave;me position. Malgr&eacute; ce coup du sort, son week-end reste extr&ecirc;mement positif et confirme son regain de forme. Yorick Montagne termine quatri&egrave;me du Grand Prix, mais son week-end est loin d&rsquo;&ecirc;tre pass&eacute; inaper&ccedil;u. Il s&rsquo;offre trois podiums, dont une deuxi&egrave;me place dans la course 4, juste derri&egrave;re son papa. Ce r&eacute;sultat permet &agrave; l&rsquo;&eacute;quipe Aravi Racing et &agrave; Renault Trucks, partenaire officiel historique des 24 Heures Camions, de signer un doubl&eacute; m&eacute;morable. Un moment fort et charg&eacute; d&rsquo;&eacute;motion.
Cinqui&egrave;me du Grand Prix, Jonathan Andr&eacute; (#44 - MAN) esp&eacute;rait sans doute un meilleur r&eacute;sultat. Toujours bien plac&eacute;, il n&rsquo;a cependant jamais r&eacute;ussi &agrave; d&eacute;crocher de podium. Sa constance et sa r&eacute;gularit&eacute; lui permettent n&eacute;anmoins de glaner de pr&eacute;cieux points et de se repositionner id&eacute;alement dans la lutte pour le top 5 du classement final. Jos&eacute; Sousa (#22 - Freightliner), actuellement troisi&egrave;me du g&eacute;n&eacute;ral a &eacute;t&eacute; moins en verve que lors de ses pr&eacute;c&eacute;dentes sorties. Il a malgr&eacute; tout brill&eacute; lors de la prestigieuse course de nuit, samedi soir, s&rsquo;imposant devant un public en d&eacute;lire.
Aur&eacute;lien Hergott (#68 - DAF) termine 7ᵉ du Grand Prix, un r&eacute;sultat plus que satisfaisant pour lui et sa &laquo; petite &raquo; &eacute;quipe. En proie &agrave; des probl&egrave;mes m&eacute;caniques depuis le d&eacute;but de la saison, cette performance vient redonner un v&eacute;ritable &eacute;lan de motivation &agrave; toute l&rsquo;&eacute;quipe pour bien finir l&rsquo;ann&eacute;e.
Un autre pilote s&rsquo;est illustr&eacute; dans la Sarthe. Antoine Languillat (#95 &ndash; MAN) se hisse au 8ᵉ rang et termine meilleur pilote dans la cat&eacute;gorie junior. Le point d&rsquo;orgue de sa performance : la pole position dans la course 4 et une bataille acharn&eacute;e, mais toujours propre, avec les pilotes les plus exp&eacute;riment&eacute;s du championnat. Prometteur pour la suite !
Rouler &agrave; domicile n&rsquo;a pas &eacute;t&eacute; simple pour la famille Robineau. Anthony (#7 &ndash; MAN) esp&eacute;rait sans doute terminer plus haut dans la hi&eacute;rarchie. Neuvi&egrave;me des 24 Heures Camions, il passe de la cinqui&egrave;me &agrave; la septi&egrave;me place du classement pilotes.
Lucas Rivals (#15 &ndash; Renault Trucks) retrouve enfin des couleurs apr&egrave;s un passage difficile &agrave; Magny-Cours, o&ugrave; il avait align&eacute; trois r&eacute;sultats blancs en quatre courses. Cette fois, il termine dans le top 10 de la quatri&egrave;me et avant-derni&egrave;re &eacute;tape du championnat, de quoi redonner un vrai souffle &agrave; toute l&rsquo;&eacute;quipe avant la finale qui se jouera sur ses terres, &agrave; Albi, dans quelques semaines.
Aux portes du top 10, Rapha&euml;l Sousa (#21 - Freightliner) a perdu gros. Victime d&rsquo;un accrochage lors de la course 3, il n&rsquo;a pas pu prendre le d&eacute;part de la course 4, son camion &eacute;tant trop endommag&eacute;. Cinqui&egrave;me du championnat, il recule d&rsquo;une place et voit revenir en force Lionel Montagne et Anthony Robineau. Seulement neuf points s&eacute;parent ces trois pilotes. La fin de saison s&rsquo;annonce mouvement&eacute;e&nbsp;!
Mention sp&eacute;ciale &agrave; Patrick Chatelain (#31 &ndash; Iveco). Le v&eacute;t&eacute;ran du championnat se classe 12ᵉ du Grand Prix (29 camions en piste). Auteur d&rsquo;une excellente saison, il occupe la 11ᵉ place du g&eacute;n&eacute;ral et prouve qu&rsquo;il a encore &eacute;norm&eacute;ment de potentiel derri&egrave;re le volant. Chapeau ! La plus rapide des femmes sur la grille, Jennifer Janiec (#66 - MAN), finit 17ᵉ du GP.
Du c&ocirc;t&eacute; des lyc&eacute;es, les professeurs de conduite poids lourd n&rsquo;ont pas d&eacute;m&eacute;rit&eacute;. Guillaume Martin (#25 &ndash; MAN), repr&eacute;sentant le lyc&eacute;e Jeanette Guyot, r&eacute;alise une belle performance en terminant 20ᵉ. Un peu plus compliqu&eacute; pour C&eacute;line Miral (#77 &ndash; Renault Trucks) et Pierre Parsus (#69 &ndash; Renault Trucks), qui se sont partag&eacute;s leur camion : C&eacute;line roulait le samedi, Pierre le dimanche. Si C&eacute;line n&rsquo;a pas marqu&eacute; de points, elle a franchi la ligne d&rsquo;arriv&eacute;e dans les deux courses o&ugrave; elle &eacute;tait engag&eacute;e, d&eacute;montrant de belles qualit&eacute;s derri&egrave;re le volant. Quant &agrave; Pierre, il termine 27ᵉ. Pour rappel, ces &eacute;quipes, encore plus amateurs que les permanents du championnat, embarquent avec elles des &eacute;tudiants en conduite et en m&eacute;canique, faisant de cet &eacute;v&eacute;nement un superbe projet p&eacute;dagogique.
F&eacute;licitations &eacute;galement &agrave; tous les autres pilotes du plateau qui ne sont pas cit&eacute;s, et qui ont enflamm&eacute; les quatre courses des 24 Heures Camions. Une chose est s&ucirc;re, ils ont offert un spectacle m&eacute;morable au public&nbsp;!
| Un rendez-vous festif et populaire
Les 24 Heures Camions ne sont pas seulement une comp&eacute;tition sportive : c&rsquo;est avant tout une v&eacute;ritable f&ecirc;te populaire et familiale.
Parmi les temps forts, plus de 250 camions d&eacute;cor&eacute;s, anciens, tuning ou am&eacute;ricains ont d&eacute;fil&eacute; le samedi soir et le dimanche midi. Un spectacle grandiose qui a attir&eacute; des dizaines de milliers de spectateurs mass&eacute;s le long de la ligne droite du circuit, venus admirer ces machines d&rsquo;exception.
Le samedi soir, l&rsquo;ambiance est mont&eacute;e d&rsquo;un cran avec le concert du DJ Laurent Wolf, qui a transform&eacute; la ligne droite des stands en dancefloor g&eacute;ant. Un show pr&eacute;c&eacute;d&eacute; par une d&eacute;monstration m&eacute;canique impressionnante du cascadeur Patrick Bourny, c&eacute;l&egrave;bre pour ses figures spectaculaires au volant de ses camions hors normes.
V&eacute;ritable salon professionnel &agrave; ciel ouvert, l&rsquo;&eacute;v&eacute;nement a &eacute;galement rassembl&eacute; les grandes marques du secteur. Renault Trucks &ndash; partenaire officiel historique &ndash; mais aussi DAF, Mercedes-Benz Trucks, MAN, Scania et Volvo Trucks ont pr&eacute;sent&eacute; leurs derni&egrave;res nouveaut&eacute;s au public.
&Agrave; leurs c&ocirc;t&eacute;s, pr&egrave;s de 50 entreprises et organismes d&eacute;di&eacute;s &agrave; l&rsquo;emploi et &agrave; la formation ont accueilli conducteurs, m&eacute;caniciens et jeunes talents en qu&ecirc;te d&rsquo;opportunit&eacute;s dans le secteur.
| Une &eacute;dition anniversaire r&eacute;ussie
Cette 40e &eacute;dition confirme la place incontournable des 24 Heures Camions dans le calendrier du Circuit Bugatti, gr&acirc;ce &agrave; l&rsquo;engagement des pilotes, partenaires et spectateurs. Organis&eacute; par l&rsquo;Automobile Club de l&rsquo;Ouest et WHEELS RACING, l&rsquo;&eacute;v&eacute;nement continue de f&eacute;d&eacute;rer autour des valeurs de convivialit&eacute; et de passion.
Pierre Fillon, Pr&eacute;sident de l&rsquo;Automobile Club de l&rsquo;Ouest :
&laquo;&nbsp;Cette 40e &eacute;dition restera dans l&rsquo;histoire des 24 Heures Camions, avec une superbe affluence et un spectacle qui a ravi petits et grands. Nous sommes fiers d&rsquo;accueillir chaque ann&eacute;e un public toujours aussi nombreux et enthousiaste, preuve que cet &eacute;v&eacute;nement est devenu un rendez-vous majeur du Circuit Bugatti. Rendez-vous l&rsquo;an prochain pour poursuivre cette belle histoire. &raquo;
Pierre Dubois, Directeur g&eacute;n&eacute;ral de WHEELS RACING :
&laquo; Voir autant de spectateurs pour cette &eacute;dition anniversaire est une immense satisfaction. C&rsquo;est une r&eacute;compense pour les pilotes, les &eacute;quipes et l&rsquo;ensemble de la fili&egrave;re camion qui &oelig;uvrent toute l&rsquo;ann&eacute;e pour offrir un spectacle de haut niveau. Ce succ&egrave;s populaire confirme la dynamique des courses Camions et leur rayonnement bien au-del&agrave; du paddock. &raquo;
Rendez-vous en 2026 pour la 41e &eacute;dition des 24 Heures Camions !

La quatrième manche du championnat de France Camions FFSA s’est tenue ce week-end sur le circuit Bugatti du Mans, cadre de la 40ᵉ édition des 24 Heures Camions.

Téo Calvet triomphe au Mans et fait un pas décisif vers le titre

24 heures Camions - Le Mans

Jules a signé son 3e podium en Eurocup-3 à Jerez et grimpe à la 6e place au championnat. En Freca, à Barcelone, Evan Giltaire a terminé au pied du podium.

DUPONT THIBAUD

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